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Dans le livre précédent, le renard Noir Ada est parti à grandes enjambées pour retrouver le marchand véreux...
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Tozaemon, le vendeur qui vend des melons lavandes était à l'origine d'un samouraï, mais Inazuma était en affaires depuis longtemps et n'avait pas d'endroit pour utiliser son sabre, alors il est devenu marchand dans le village. Il a appris quelques méthodes d'extorsion et d'escroquerie commerciale, et grâce à sa malédiction, personne n'osait s'en prendre à lui.
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Ce jour-là, Tozaemon se rafraîchissait devant son étable lorsqu'il vit un nuage de poussière, la terre bougea et vibra, et une ombre plus grande que le hangar tomba au-dessus de sa tête :
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« Frère, achète un melon ! »
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Tozaemon ouvrit légèrement les yeux et examina le visiteur : seulement pour voir que le visiteur était corpulent, noir et fort, malédiction féroce, se tenant sans manières, comme pour attaquer un homme, mais une femme !
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« Combien voulez-vous ? »
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Le visiteur n'était pas pressé de répondre, mais se contentait de regarder le wakizashi sur la planche à hacher :
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« Bon sabre, bon sabre. »
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« Un bon sabre en effet, et j'étais autrefois membre d'une famille martiale, donc je dois avoir un trésor de famille qui a de la valeur. »
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Tozaemon, inconscient de la situation, a répondu comme il veut.
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« C'est dommage qu'il ait été utilisé pour découper un melon. »
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Voyant la piqûre dans les mots du visiteur, le visage de Tozaemon montrait du mécontentement :
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« Vous êtes ici pour acheter des melons, n'est-ce pas ? Pourquoi parlez-vous autant ? »
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« Oui, oui. »
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Ada, le renard Noir, a hésité, et s'est excusé à juste titre.
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« Coupez un litre de Melon lavande en cubes et enlevez toute l'écorce. »
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Le visage de Tozaemon était suspicieux, mais il n'avait pas l'intention de le remettre en question. Il a donc coupé un litre de melon lavande en morceaux et les a pesés sur la balance.
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« Comment cette échelle est-elle inégale, grand frère ? »
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Quand Tozaemon a entendu cela, il a resserré la prise sur son sabre.
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« Je dis, il semble que'ait un tempérament à cette échelle !
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« Si tu es d'humeur à t'amuser, grande sœur, pourquoi ne pas commencer par me donner Mora ? »
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Tozaemonn n'a pas pu retenir sa colère, il a théorisé à ce sujet.
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« Hé, ce n'est pas que je ne veux pas payer d'avance, j'ai juste peur que vous ne le preniez pas. »
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« Je la prends si vous payez ! »
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« Est-ce vraiment le cas ? »
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« Il y a toujours pas de faux ! »
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Le renard Noir a rugi : « Suivant ! » Il a claqué un paquet de Mora dans sa main sur le visage de Tozaemon. Tozaemon n'a pas pu de l'esquiver, il est tombé sur le dos, et son précieux wakizashi s'est envolé de sa main et a atterri à côté de lui. Un regard plus attentif était remarquable, car le nez du traître était écrasé en un tas aplati par le sac de Mora, ressemblant à une bourse pour une pipe.
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Renard Noir Ada a fait deux pas de plus et a marché sur la poitrine de l'adultère. Sans un mot, elle lui a donné un coup de poing en plein visage. Le coup a fait battre les tambours dorés dans la tête du traître, presque comme une rencontre d'arts martiaux de Liyue en mer. Tozaemon a lutté pour se relever et a attrapé le wakizashi qui venait de tomber au sol. Mais il a été repéré par le renard Noir, et dans un accès de rage, elle a donné un autre coup de poing, provoquant une paire d'oreilles de Chat Civette qui sont sorties de la tête de Tozaemon « pouf », et il n'a pas pu s'empêcher d'implorer la pitié de sa bouche.
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Ada a éclaté de rire en entendant cela, le marchand perfide s'est avéré être un monstre aussi, et un Chat civette sale en plus !
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Ainsi, après avoir collecté le wakizashi volé par le Chat civet, distribué les biens de la brute à tout le village et remis l'argent restant à la mère et à la fille en détresse, le renard Noir Ada a laissé passer la vie du monstre de la civette et a continué son chemin. |